lundi 9 janvier 2012

Lettre ouverte à Bernard Briguet de Médiapart

Dans votre excellent article "2011 ! COUPS D’ÉTAT FINANCIER" du 8 janvier 2012, une phrase m'a choqué :


"Il est vain de compter sur les partis politiques ou sur les syndicats installés dans leur confort et leurs certitudes, incapables de faire leur propre révolution".

Militant cégétiste depuis 1958, j'ai eu l'occasion de tester le "confort" dans lequel vous voulez voir les syndicats. Cela m'a procuré : répression, licenciement et carrière sabrée. Je sais que pour certains, dont vous semblez faire partie, il n'y a de bien que les "inorganisations" dont l'efficacité, reste à démontrer.

lire la suite
http://www.calameo.com/read/00050433911dff14e9987

2 commentaires:

  1. Je vous remercie pour votre courrier en réaction à mon article dans mediapart. Non je ne suis pas de ceux qui pensent qu’il n’y a que les inorganisations…, J’ai pété engagé toute ma vie dans différentes luttes y compris aux côté des syndicats, j’ai été membre de partis y compris du PCF. Je sis hélas bien obligé de constaté le peux d’influence actuelle du PCF et comme vous le faites remarquer le faible nombre de syndiqués en France. Je le déplore. La phrase que vous incriminée, je vous comprends, ne se veut pas une condamnantion de votre engagement mais un constat de la situation actuelle et c’est pourquoi sans penser pour autant que le mouvement des indignés est une révolution je pense qu’il est une voix nouvelle pleine d’espoir.

    RépondreSupprimer
  2. Désolé. mais mon texte de réponse est parti malgré moi et je constate qu'il est bourré de fautes de frappes ou d'orthographe.
    Je voue le redonne ici avec mes excuses.
    Je vous remercie pour votre courrier en réaction à mon article dans mediapart. Non je ne suis pas de ceux qui pensent qu’il n’y a que les inorganisations…, J’ai été engagé toute ma vie dans différentes luttes y compris aux côté des syndicats, j’ai été membre de partis y compris du PCF. Je suis hélas bien obligé de constater le peu d’influence actuelle du PCF et comme vous le faites remarquer le faible nombre de syndiqués en France. Je le déplore. La phrase que vous incriminez ,et je vous comprends, ne se veut pas une condamnantion de votre engagement mais un constat de la situation actuelle et c’est pourquoi sans penser pour autant que le mouvement des indignés représente t une révolution je pense qu’il est une voix nouvelle pleine d’espoir.

    RépondreSupprimer