dimanche 21 avril 2019

Et si le royaliste de service arrêtait de « berner » les gens ?


Et si le royaliste de service arrêtait de « berner » les gens ?

Il ne faudrait pas opposer les pierres aux humains ! D’abord cela dépend de quelles pierres ! Je ne suis pas sûr qu’il dirait la même chose s’il s’agissait de monument à la gloire de la Révolution française. Lorsqu’il a fallu trouver des fonds pour éviter que des écrits de Robespierre ne partent à l’étranger on n’a pas vu les mécènes. Ils ont l’amour de l’histoire sélectif. N’en déplaise à ce pseudo historien je préfèrerait toujours les humains aux pierres (même historique).

Quant aux dons, ils seraient privés…. Mais depuis quand ces « mécènes » transpirent le pognon de dingue qu’en suite ils « optimisent fiscalement » ? C’est du pognon issu de l’exploitation capitaliste. Et il serait logique que les plus démunis en bénéficient.

Et puis qu’est-ce que sait que cette histoire : Notre Dame de Paris qui serait « l’âme de la France » ?

C’est une partie de notre histoire et surtout de l’histoire du christianisme. Mais la France est le résultat de la Révolution Française et des droits de l’Homme aujourd’hui malmené, de la Commune, de la Résistance, des luttes sociales, de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, des grands écrivains Hugo, Zola, Aragon et tant d’autres des grands musiciens, des travailleurs immigrés qui ont participé à la reconstruction de la France après la guerre.

Considérer comme central un monument religieux (même un chef d’œuvre) est fortement réducteur et irrespectueux des athées pourtant majoritaire en France.
Michel Cialdella





Un texte intéressant de Jacques Cotta


canempechepasnicolas.over-blog.com/2019/04/mais-comment-l-incendie-de-notre-dame-a-t-il-ete-possible.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail

vendredi 19 avril 2019

Jamais Quasimodo ne mourra


MA ChRONique de l’extrême centre. par Pierre Serna

L’Humanité du Vendredi, 19 Avril, 2019


Jamais Quasimodo ne mourra

Message de ma fille attristée. « Quasimodo va mourir dans les flammes », en souvenir des lectures interminables de Notre-Dame, chaque soir, durant de longs mois. « Non, Lou, ce que les hommes ont construit, aucun dieu, même celui du feu, si tant est que le ciel ne soit pas vide, ne peut le détruire. » Vulcain, maître de l’incendie en personne, ne peut rien contre le labeur des humains. Ce n’est pas une église qui a brûlé. Ce sont des millions d’heures de travail, d’innombrables journées de sueur, de sang, de larmes, des centaines d’accidents du travail, des dizaines de morts sur le chantier qui dura plusieurs dizaines d’années, voire des centaines avec les restaurations, qui sont partis en fumée. Mais la vie est plus forte. Pitié. Que l’on nous épargne la résilience conservatrice et rance d’une reconstruction à l’identique. Que l’on donne leur chance à de jeunes artisans, à de jeunes architectes, à de jeunes ingénieur-e-s d’inventer et d’imaginer, avec des moyens réduits mais suffisants, une cathédrale pour le XXIe siècle, une cathédrale de verre, de lumière, à l’image de l’opération de transparence que doit opérer l’église pour se réconcilier avec le monde terrestre, et non la reproduction stérile d’un monument sombre du Moyen Âge. Et qu’avec l’argent que les milliardaires mettent sur la table, pour montrer qui sera le plus généreux, on aide Mayotte, parmi tant d’autres endroits au monde qui en ont tant besoin, Mayotte d’où est revenu le ministre de l’Intérieur en catastrophe, interrompant sa visite pour se montrer à Paris. Où le sans-culotte palestinien, comme on appelait Jésus en 1793, aurait-il voulu que cet argent soit dépensé ? Pour les pauvres ou pour rebâtir une machine à faire fantasmer les touristes du monde entier ? Pour les marchands du temple ou pour tous les SDF et précaires du monde entier ? Pour un projet inventif d’une nouvelle bâtisse peut-être, pour les personnes qui ont besoin de croire. Sûrement aussi pour la cathédrale vivante qu’est chaque migrant, chaque migrante balancée en Méditerranée, pour toutes les Esmeralda d’Afrique qui ne danseront jamais sur le parvis, avalées par la Grande Bleue. Non, Lou, les photos que nous avons du travail de Viollet-le-Duc, la cathédrale de papier qu’a édifiée Victor Hugo, les pierres montées une à une par des milliers de travailleurs anonymes et qui ont résisté aux flammes sont immortelles. Endors-toi tranquille, Lou, l’homme du peuple, l’affreux, le sale, et tellement bon et bien-aimé Quasimodo ne sera jamais acheté, ne sera jamais vendu et ne mourra jamais 


samedi 13 avril 2019

De l’eau chaude à la patate bouillante




Ma chronique de l’extrême centre.
De l’eau chaude à la patate bouillante

Vendredi, 12 Avril, 2019


Nos ami.e.s d’Italie ont une savoureuse expression pour décrire une banalité dite avec la certitude d’avoir découvert la Lune : « l’invention de l’eau chaude. » On peut attribuer cette expression à Édouard Philippe, qui vient de se rendre compte que les Français.e.s veulent payer moins d’impôts. Ou, plutôt, il manipule leurs doléances, peu nombreuses (si l’on compare aux 60 000 cahiers de 1789), pour transformer leurs propos. Depuis que l’État s’est réellement construit, sous le règne de François Ier, au XVIe siècle, il a toujours imposé davantage ses sujets contribuables pour mener à bien ses guerres, distribuer ses prébendes. Après 1789, l’impôt se transforme en contribution, mais est demeuré impopulaire, voire source de révoltes. Pourtant, c’est l’impôt qui finance l’école, la santé, les infrastructures collectives, les transports publics...

Affirmer que les Français.e.s veulent payer moins d’impôts relève soit de la lapalissade la plus affligeante, soit du calcul politicien et cynique le plus froid. Ils ont tout simplement exprimé que l’impôt est injuste. Ils réclament la solidarité entre les citoyen.ne.s. Ils désirent que les contribuables les plus riches paient leurs impôts à hauteur de leur fortune, que l’ISF soit rétabli et que flat tax et Cice soient supprimés. Ils veulent d’autant moins réduire les impôts globalement qu’ils revendiquent, de façon cohérente, que les acquis de la politique sociale de la santé soient maintenus, que l’école républicaine et facteur d’ascension sociale soit une priorité. Édouard Philippe transforme ce message et le tord dans son sens ultralibéral. Il tronque le sens de la demande des citoyen.ne.s pour désengager l’État de ses fonctions régaliennes et de ses responsabilités de défense du bien général et de la richesse commune, pour que les mieux nanti.e.s paient moins d’impôts. Voilà ce qu’il faut entendre de la conclusion hâtive et faussement banale du premier ministre. Mais, à prendre les Français.e.s pour des innocent.e.s ébahi.e.s par l’invention de l’eau chaude, il court le risque de devoir jongler avec la patate bouillante de la colère de citoyen.ne.s qui, en plus d’être durement traité.e.s par une politique fiscale injuste, se voient traité.e.s comme des spectateurs à la foire à qui on ferait prendre des vessies pour des lanternes.

Par Pierre Serna

vendredi 12 avril 2019

Halte au démentèlement de la CPAM




La Sécu vous appartient.

Un document de la CPAM de l'Isère des années 1990 que l'actuelle directrice n'a sûrement pas lu.



lundi 8 avril 2019


Crépuscule






ESSAI – Quel point commun entre Xavier Niel, Bernard Arnault et Arnaud Lagardère ? Les médias ? Pas tout à fait. Leurs fortunes respectives ? C’est trivial. Non, le point d’intersection de ces trois puissances économiques n’est autre qu’Emmanuel Macron. Dans un livre tonitruant, Juan Branco remonte aux origines de la Macronie, son élaboration — sur un modèle oligarchique démontré.



Voici l’histoire d’un livre qui ne trouvait aucune maison d’édition pour le prendre sous son aile : « Soit elles ont eu la trouille, soit on leur a dit de ne pas le faire », pourrait-on comprendre. Il aura fallu une dose de courage, autant que de relectures méticuleuses, pour que Crépuscule voit le jour — ou ne laisse la nuit venir…
 

Je cherchais des grands hommes, et je n'ai trouvé que des hommes singeant leur idéal” - Nietzsche


Au Diable Vauvert, la directrice Marion Mazauric insiste : « C’est pour l’honneur de l’édition française : on ne pouvait pas laisser un tel texte impublié. » Cette forme d’interdit tacite fut la première motivation. La seconde, immédiate, c’est l’ouvrage lui-même. Diffusé depuis novembre dernier sur internet, le texte de Juan Branco incarne la définition même du brûlot. Un écrit qui, au-delà de la polémique dans le cas présent, provoque des dégâts, considérables.

Et cependant moindres que les dégâts qu’il constate.

Entre le fichier originellement diffusé — et toujours accessible, raison pour laquelle la maison n’a pas souhaité produire de format numérique pour ce texte — un travail de construction et de sourcing colossal est venu compléter « un texte initial déjà phénoménal », insiste l’éditrice.

L’ouvrage est incendiaire, aucune strate de la société du Petit-Paris n’est épargnée. Et à quelle fin ? Celle d’expliquer l’histoire par laquelle Emmanuel Macron a accédé à l’Élysée. Tout commencerait presque avec un SMS que ce dernier passa à Xavier Niel, fondateur de Free, alors que l’auteur déjeunait avec lui. « Le futur président de la République », présente alors Niel en exhibant son smartphone à Branco. Nous sommes en octobre 2014. D’où pouvait donc lui venir pareille assurance ?
 

« La légende aura voulu qu’un gentilhomme de province, projeté sans le sou dans Paris, se soit dévoué au bien commun à la suite de brillantes études, avant d’être propulsé aux plus hautes responsabilités de l’État, sans jamais être compromis », écrit Branco. Une histoire que l’on connaît, celle que les médias ont abondamment racontée. Mais Juan Branco en sait une de plus que le diable : cette ascension, « [s]'agirait-il en somme, dès le départ, d’une fabrication » ? Quoi de plus balzacien, d'ailleurs : le peuple français a tant entendu parler de Rastignac, sans jamais le rencontrer...








Il ajoute : « Difficile de ne pas en tirer l’interrogation suivante, tant les faits deviennent accablants : cet homme dont tout le parcours exhale le service du soi n’était-il qu’un pantin aux ordres de ceux dont il a appliqué, à la lettre, un programme les servant ? Est-ce pour cela que, sur tous les enjeux de société, M. Macron s’est montré particulièrement délavé, incapable de porter une idée ? »




 

Si la vie privée des uns et des autres a été soigneusement protégée, écartée même du propos du texte, pour éviter toute atteinte, « tout est attesté et recontextualisé », souligne Marion Mazauric. « Juan, c’est l’image moderne que, fille d’historien spécialisé dans la Révolution française, je me ferais de Saint-Just. »

Et pour cause : « Dans un pays où 90 % de la presse est entre les mains de quelques milliardaires, l’exposition de la vérité est affaire complexe », assène-t-il. On a tout juste achevé la fracassante préface signée par Denis Robert : le ton est donné, les enjeux posés. Fini de rire. l'édition et ses grands groupes éditoriaux n'est pas épargnée : les investissements d'actionnaires exercent peut-être une pression moins manifeste, mais la prudence n'existe pas moins.
 

Ces êtres ne sont pas corrompus. Ils sont la corruption”, Juan Branco


« Le fonctionnement que détaille Juan est saisissant : les propriétaires des médias ne leur téléphonent pas pour dire de faire ou de ne pas faire. Ils nomment les gens qui procéderont aux nominations ou aux renvois », commente son éditrice. Ce qui permet, en toute sérénité, d’assurer qu’aucune ingérence n’existe entre les actionnaires et les journalistes. Mais en réalité, nous échappent les preuves de ces ingérences.

Depuis la constitution de la garde prétorienne montée autour d’Emmanuel Macron — et les noms s’accumulent, pointant, désignant — jusqu’au storytelling ayant placé Emmanuel Macron comme personnalité providentielle, rien n’est oublié. Et même ce qui n’est pas détaillé sera évoqué, avec une effrayante concision, en fin d’ouvrage.

« Ces êtres ne sont pas corrompus. Ils sont la corruption. Les mécanismes de reproduction des élites et de l’entre-soi parisien, l’artistocratisation d’une bourgeoisie sans mérite, ont fondu notre pays jusqu’à en faire un repère à mièvres et arrogants, médiocres et malfaisants », assène Branco, multipliant les exemples et les preuves.

« En eux qui ont fait du respect de la légalité un paravent pour s’autoriser tous les excès, ne réside plus la moindre recherche d’un engagement ou d’un don. » Implacable.
 



Et tant le courage d’un jeune trentenaire, qui a éprouvé ces milieux, en est d’ailleurs issu au point de les avoir totalement reniés, que celui d’une éditrice forcent le respect. « Juan est devenu l’avocat des causes perdues. Et le Diable va au front avec lui, comme nous le faisons depuis 20 ans », insiste Marion Mazauric. 



ESSAI – Quel point commun entre Xavier Niel, Bernard Arnault et Arnaud Lagardère ? Les médias ? Pas tout à fait. Leurs fortunes respectives ? C’est trivial. Non, le point d’intersection de ces trois puissances économiques n’est autre qu’Emmanuel Macron. Dans un livre tonitruant, Juan Branco remonte aux origines de la Macronie, son élaboration — sur un modèle oligarchique démontré.

Voici l’histoire d’un livre qui ne trouvait aucune maison d’édition pour le prendre sous son aile : « Soit elles ont eu la trouille, soit on leur a dit de ne pas le faire », pourrait-on comprendre. Il aura fallu une dose de courage, autant que de relectures méticuleuses, pour que Crépuscule voit le jour — ou ne laisse la nuit venir…
 

Je cherchais des grands hommes, et je n'ai trouvé que des hommes singeant leur idéal” - Nietzsche


Au Diable Vauvert, la directrice Marion Mazauric insiste : « C’est pour l’honneur de l’édition française : on ne pouvait pas laisser un tel texte impublié. » Cette forme d’interdit tacite fut la première motivation. La seconde, immédiate, c’est l’ouvrage lui-même. Diffusé depuis novembre dernier sur internet, le texte de Juan Branco incarne la définition même du brûlot. Un écrit qui, au-delà de la polémique dans le cas présent, provoque des dégâts, considérables.

Et cependant moindres que les dégâts qu’il constate.

Entre le fichier originellement diffusé — et toujours accessible, raison pour laquelle la maison n’a pas souhaité produire de format numérique pour ce texte — un travail de construction et de sourcing colossal est venu compléter « un texte initial déjà phénoménal », insiste l’éditrice.

L’ouvrage est incendiaire, aucune strate de la société du Petit-Paris n’est épargnée. Et à quelle fin ? Celle d’expliquer l’histoire par laquelle Emmanuel Macron a accédé à l’Élysée. Tout commencerait presque avec un SMS que ce dernier passa à Xavier Niel, fondateur de Free, alors que l’auteur déjeunait avec lui. « Le futur président de la République », présente alors Niel en exhibant son smartphone à Branco. Nous sommes en octobre 2014. D’où pouvait donc lui venir pareille assurance ?
 

« La légende aura voulu qu’un gentilhomme de province, projeté sans le sou dans Paris, se soit dévoué au bien commun à la suite de brillantes études, avant d’être propulsé aux plus hautes responsabilités de l’État, sans jamais être compromis », écrit Branco. Une histoire que l’on connaît, celle que les médias ont abondamment racontée. Mais Juan Branco en sait une de plus que le diable : cette ascension, « [s]'agirait-il en somme, dès le départ, d’une fabrication » ? Quoi de plus balzacien, d'ailleurs : le peuple français a tant entendu parler de Rastignac, sans jamais le rencontrer...



Il ajoute : « Difficile de ne pas en tirer l’interrogation suivante, tant les faits deviennent accablants : cet homme dont tout le parcours exhale le service du soi n’était-il qu’un pantin aux ordres de ceux dont il a appliqué, à la lettre, un programme les servant ? Est-ce pour cela que, sur tous les enjeux de société, M. Macron s’est montré particulièrement délavé, incapable de porter une idée ? »




Si la vie privée des uns et des autres a été soigneusement protégée, écartée même du propos du texte, pour éviter toute atteinte, « tout est attesté et recontextualisé », souligne Marion Mazauric. « Juan, c’est l’image moderne que, fille d’historien spécialisé dans la Révolution française, je me ferais de Saint-Just. »

Et pour cause : « Dans un pays où 90 % de la presse est entre les mains de quelques milliardaires, l’exposition de la vérité est affaire complexe », assène-t-il. On a tout juste achevé la fracassante préface signée par Denis Robert : le ton est donné, les enjeux posés. Fini de rire. l'édition et ses grands groupes éditoriaux n'est pas épargnée : les investissements d'actionnaires exercent peut-être une pression moins manifeste, mais la prudence n'existe pas moins.
 

Ces êtres ne sont pas corrompus. Ils sont la corruption”, Juan Branco


« Le fonctionnement que détaille Juan est saisissant : les propriétaires des médias ne leur téléphonent pas pour dire de faire ou de ne pas faire. Ils nomment les gens qui procéderont aux nominations ou aux renvois », commente son éditrice. Ce qui permet, en toute sérénité, d’assurer qu’aucune ingérence n’existe entre les actionnaires et les journalistes. Mais en réalité, nous échappent les preuves de ces ingérences.

Depuis la constitution de la garde prétorienne montée autour d’Emmanuel Macron — et les noms s’accumulent, pointant, désignant — jusqu’au storytelling ayant placé Emmanuel Macron comme personnalité providentielle, rien n’est oublié. Et même ce qui n’est pas détaillé sera évoqué, avec une effrayante concision, en fin d’ouvrage.

« Ces êtres ne sont pas corrompus. Ils sont la corruption. Les mécanismes de reproduction des élites et de l’entre-soi parisien, l’artistocratisation d’une bourgeoisie sans mérite, ont fondu notre pays jusqu’à en faire un repère à mièvres et arrogants, médiocres et malfaisants », assène Branco, multipliant les exemples et les preuves.

« En eux qui ont fait du respect de la légalité un paravent pour s’autoriser tous les excès, ne réside plus la moindre recherche d’un engagement ou d’un don. » Implacable.
 



Et tant le courage d’un jeune trentenaire, qui a éprouvé ces milieux, en est d’ailleurs issu au point de les avoir totalement reniés, que celui d’une éditrice forcent le respect. « Juan est devenu l’avocat des causes perdues. Et le Diable va au front avec lui, comme nous le faisons depuis 20 ans », insiste Marion Mazauric


samedi 6 avril 2019

Le Travailleur Alpin a 90 ans




Le Travailleur Alpin a 90 ans un document indispensable que l'on peut se procurer au siège de la fédération de l'Isère du PCF rue Emile Gueymard.




vendredi 5 avril 2019

Meeting avec Ian Brossat


La campagne pour les européennes c’est parti.

Ian Brossat était en meeting à Echirolles ce vendredi 5 avril 2019.

Belle ambiance.












Renzo Sulli Maire d'Echirolles ouvre la soirée


En présence de notre jeune candidate Lucie Martin


Ian Brossat


Une salle des fêtes acquise au vote communiste





 L'Internationale retentit