mardi 30 décembre 2014

Un livre qui mérite une large diffusion



Au moment où s'enchaînent des guerres périfériques, l'Histoire est plus que jamais indispensable.


Raymonde Dien ancienne militante, des années cinquante, pour la paix au Viet-Nam puis contre la guerre d' Algérie, a voulu rappeler, dans un livre, aux jeunes et moins jeunes d' aujourd' hui, ce que fut son combat pour la paix.



L' ouvrage, bien documenté, de surcroît riche en photos, plus d' une soixantaine, la plupart en couleurs, devrait rencontrer un public conséquent mais encore faudrait-il que sa diffusion ne reste pas le souci de la seule Raymonde et de sa fille.

Il est toujours plus facile de conseiller que d' aider à la diffusion d' un livre, tellement plus facile de penser, comme ce fut ma première réaction en apprenant les difficultés rencontrées par Raymonde et Catherine : Fallait faire ceci : Par souscription, placer un minimum de commandes avant le tirage du livre. Fallait faire cela : Prendre contact avec des organisations susceptibles de partiper à la diffusion ne serait-ce qu' en présentant le livre à leurs adhérents et divers contacts.

Aujourd' hui, nous sommes une poignée à nous être engagés, en notre for intérieur, à aider Raymonde mais une poignée n' en fait pas deux et donc nous sommes trop peux nombreux pour être bien efficaces. Il est urgent que d' autres personnes aident à la diffusion sinon Raymonde restera avec des centaines d' exemplaires dans les cartons et donc, sur les bras.

Nous voulons croire que les "Paix au Viet-Nam" des années cinquante, rapportés par le livre, qui participèrent à la victoire du peuple vietnamien sont restés dans des coins de nombreuses mémoires qui n' ont pas complétement oublié cette époque.

Epoque, de combats pour la paix, bien ignorée, de nos jours, des jeunes et de moins jeunes.
Alors, si beaucoup de ceux qui ont participé au combat de Raymonde nous rejoignent en passant commande d' un ou plusieurs exemplaires ( idée de cadeaux ) les "Paix au Viet-Nam" de cette époque trouveront un écho des plus précieux pour la diffusion.

Merci de bien vouloir faire suivre ce message à tous vos correspondants.
Commandes à adresser par chèque de 20 euros (Port compris) à l' ordre de Raymonde Dien ou de Catherine DIEN.

Envoyez votre commande à :

Catherine DIEN
3 cité Picasso
Appartement 345
93200 SAINT-DENIS.

dimanche 28 décembre 2014

BONNE ANNEE !

"Le capitalisme est cette croyance stupéfiante que les pires des hommes feront les pires choses pour le plus grand bien de tout le monde". John M. Keynes.


La politique mise en œuvre par Hollande et Valls aurait échoué....


Bien sûr que non ! Elle aurait échoué si le but avait été l'amélioration de la situation des travailleurs à travers les salaires, la protection sociale, la poursuite de la réduction du temps de travail contraint sur la journée, la semaine et la vie avec augmentation du salaire, dans la logique de la dynamique impulsée en 1945. Mais ça n'est pas le cas. L'objectif de ce gouvernement c'est le soutien au taux de profit. Et là il a réussi, comme en témoignent les dividendes dont la part est passée de 3 % à 9% du PIB entre 1980 et 2010. Le PIB de 2013 s'élevant à 2113 milliards €,  c'est donc 190 milliards € qui vont dans la poche des actionnaires  sans qu'ils n'aient besoin de se lever tôt ni même qu'ils n’aient besoin de travailler...Juste, ils ont investi...en bourse... en prélevant sur le travail des salariés. En clair, "ils ont fait l'effort de nous piquer du fric pour pouvoir nous en piquer encore plus le coup d'après". Étonnant ? Non, capitaliste.


Théodore Roszak, universitaire américain, a bien raison lorsqu'il écrit :


« La cupidité suffit-elle à expliquer ce qui pousse quelqu’un à vouloir encore gagner des millions quand il a déjà amassé des milliards ? Peut-être avons-nous a faire à quelque chose de plus proche de la gloutonnerie, un besoin psychotique de s’empiffrer alors qu’on n’a plus faim. » (1). Mais les goinfres continuent de s'empiffrer ! De ce point de vue, le gouvernement a réussi.


Moralité : un gouvernement qui fait une politique de droite est un gouvernement de droite. Il faut donc cesser de lui coller l'étiquette de "gauche".


Allez, bonne année à tous


Michel Cialdella

Quel connerie la guerre !



La France (officielle) est engagée dans plusieurs guerres sans que le Peuple, (le souverain selon la Constitution) ne l'ait décidé. Dans un autre pays on appellerait ça "La dictature"...Je hais ceux qui décident de la guerre et qui surtout prennent soins d'y envoyer les autres...des soldats français meurent, pas pour la patrie mais pour des multinationales. De plus ça nous coûte combien cette "plaisanterie" ?.Heureusement lorsque les bombardiers français larguent des bombes......ou plus exactement effectuent des frappes aériennes, ils prennent soin d'éviter les enfants...
Dans ces situations de plus en plus fréquentes nous n'avons quasiment pas d'image...Comment ne pas s'inquiéter alors que le Capitalisme vit une crise majeur dont nous ne voyons pas la fin, il y a des guerres en plusieurs endroit de la planète et une montée de l'extrême droite partout en Europe !


 ...un poème me vient à l'esprit :


 Le dormeur du val
C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.



Arthur Rimbaud octobre 1870

mardi 11 novembre 2014

Les allocations familiales font parti de la Sécu et doivent être défendues

Haro sur les allocations familiales !


Dans l'Humanité du 10 novembre 2014, je lis sous la plume de Barbara Romagnan une chronique dans laquelle elle minimise la portée de l'attaque contre les allocations. « Un ami enseignant et militant de gauche m'a dit qu'il était satisfait de la mise sous condition de ressources du montant des allocations familiales, revendiquant l'idée selon laquelle chacun devait cotiser selon ses moyens et recevoir selon ses besoins. Je partage évidemment cette idée et cela ne me fait pas pleurer que les ménages les plus riches voient leurs allocations familiales se réduire ». Écrit elle. Je suis un militant de gauche (communiste) et je ne suis pas d'accord avec cette façon de voir. Il ne s'agit pas de pleurer sur le sort d'un couple gagnant 8000 par mois (je suis retraité et avec mon épouse percevons 1800 € mensuels) et qui touche 129,35 € d'allocations pour deux enfants. Les allocations familiales font parties de la Sécurité sociale que les fondateurs voulaient universelle. À l'origine les allocations familiales étaient financées uniquement par des cotisations d'entreprise. La cotisation patronale destinée à financer la branche a constamment décru depuis 1946 ou son taux était fixé à 16,75 % des rémunérations sous plafond. Il a été progressivement abaissé pour se stabiliser à 9 % entre 1974 et 1989, avant que la cotisation ne soit déplafonnée et son taux ramené à 7 % en 1990 et à 5,25 % en 2014 sans que cela améliore aussi peu que ce soit les prestations pour les plus modestes. Rappelons, aux pleurnichards du Medef, qu'au départ les allocations familiales sont une création patronale… Unifiées en 1945, les allocations font partie du salaire socialisé et représente très insuffisamment le coût de l'enfant. De ce point de vue il faut exiger qu’elles soient attribuées dès le premier enfant. Elles ne sont pas un moyen de réduire les inégalités. Pour réduire les inégalités, il y a la fiscalité redistributive, dont la plus juste est l'impôt sur le revenu, à condition qu'il soit progressif et réparti sur un grand nombre de tranches (par exemple : 14 contre 5 aujourd'hui). Admettre des conditions de ressources pour les prestations de Sécu, c'est introduire des notions d'assistance, ce qui est contraire à l'esprit de la Sécurité sociale. Pierre Laroque disait : « Il est malsain de développer les prestations subordonnées à une condition de ressources, car cela aboutit à transformer la famille en assistée et à créer une espèce de clivage dans la population entre les pauvres et les non-pauvres ; ceci me paraît socialement extrêmement mauvais ».(1) Il est particulièrement indécent de réduire des prestations familiales pour une économie attendue de 700 millions d'euros alors que 220 milliards € par an sont déversés au patronat sans contrepartie. Cela montre également que la justice sociale n'est pas la préoccupation des instigateurs de cette mesure qui participe du détricotage de la Sécu. Il y a également le danger de l'effet de seuil. Celui-ci peut évoluer au fil du temps et on voit bien dans quel sens il peut évoluer (voir le forfait hospitalier). Comme il n'y a pas de redistribution dans ce cas de figure, il n'y aura pas d'amélioration pour les plus modestes. On pourrait également imaginer qu'ils appliquent ce principe à toutes les prestations de la sécurité sociale, notamment à l'assurance-maladie. On rembourserait les médicaments et les actes médicaux, les hospitalisations en fonction des revenus… Au final, ce sont les plus modestes qui en pâtiraient. Qui a dit que les mesures pour les pauvres étaient toujours de pauvres mesures ?

Michel Cialdella


1) Pierre Laroque, « Revue française des affaires sociales », novembre 1977

jeudi 6 novembre 2014

La Sécurité sociale une conquête en danger



Contrairement à l'affirmation de ceux qui prétendent que "Les entreprises ont accepté de contribuer au système d'assurance sociale" (*), le patronat et la droite se sont vu imposer, pour cause de rapport des forces favorable aux travailleurs, la création de la Sécurité sociale. Aujourd'hui plus que jamais elle est menacée par les mêmes plus le gouvernement PS qui ne se différencie plus de la droite. J'ai rassemblé mes écrits dans un document.

Fruit de mon travail, de mon expérience militante et des 18 ans passés comme administrateur CGT à la CPAM de Grenoble.

J'ai assisté à un grand nombre de débats sur le sujet. Au cours de l'un d'eux, organisé par une association percevant des subventions du CNRS et des Universités de Grenoble, une enseignante de l'IEP de Grenoble, qui intervenait comme « experte », a prétendu que celui qui aurait la solution pour le financement se la Sécurité sociale pourrait prétendre au prix Nobel. C'était une boutade, bien sûr, mais elle était révélatrice de la pauvreté des arguments officiels. Étalant son incompétence...ou sa mauvaise foi ou les deux, elle affirma qu'en France "Les syndicats ne voulaient pas gérer l'institution". Après le débat, je suis allé lui dire que c'était faux. Les gouvernements, au fil des réformes, ont retiré les prérogatives des conseils d'administration. Elle se contenta de ricaner en bredouillant "oui, mais c'était avant 1967...". Ce qui est grave, c'est que cette personne enseigne....

Contrairement aux « experts » officiels qui ne veulent voir la Sécu qu'à travers un trou abyssal creusé à cause de l'abus des assurés qui font rien qu'à être malades et qui n'ont comme solution que la baisse des dépenses remboursées solidairement, alors que 30% des assurés renoncent à des soins faute de moyens financiers. Ces pseudo-experts veulent ignorer que la Sécu c'est d'abord l'accès aux soins de millions de personnes, des prestations familiales. Combien de vie a-t-elle permis de sauver ? Elle a permis le développement de la recherche médicale, elle n'est pas pour rien dans l'allongement de la durée de vie et dans le fait que la retraite n'est plus la misère pour un grand nombre de salariés.

Rien n’est jamais dit dans les médias bien en cour, sur la capacité du salaire socialisé à financer sans problème les quatre branches de la Sécurité sociale (Maladie, Accidents du Travail et Maladies Professionnelles, Famille et Vieillesse) à hauteur de 500 milliards d’euros sans passer par l’épargne et sans enrichir des actionnaires.

Pour moi la Sécu et un enjeu majeur de la lutte des classes et une intrusion communiste dans le capitalisme. Son sauvetage exige nécessairement des mesures radicalement anticapitalistes.

Michel Cialdella



*) "La protection sociale en France" - 6e édition, page 55 - sous la direction de Marc de Montalembert - La Documentation française - 2013. Ensemble de Notices qui pour l'essentiel reprennent les clichés véhiculés dans la majorité des médias.

Vous pouvez vous procurer ce document de 174 pages au format 21 x 29,7. Participation au frais 16 euros + frais de port 5 euros.

Par chèque à Michel Cialdella - 6, rue Joseph Bertoin - 38600 Fontaine.


vendredi 26 septembre 2014

JE SIGNE, ET VOUS ?



Ni par internet, ni en grandes surfaces.

Les médicaments ne sont pas de banales "marchandises". Une pétition circule pour  qu'ils restent dans les pharmacies. Cette pétition est limitée dans ses exigences mais c'est notre santé qui est enjeux. Je la signe bien volontiers.


Personnellement j'aurais ajouté :

·       Nationalisation intégrale de l'industrie pharmaceutique.

·       Élimination de tous les médicaments inutiles ou dangereux

·       Formation démocratique des prix par une instance où serait représentée la branche Maladie de la Sécurité sociale ainsi que des représentants des associations de malades.

·       Remboursement à 100% par la Sécurité sociale.

 Michel Cialdella
ex administrateur de la CPAM de Grenoble

jeudi 25 septembre 2014

A propos des "propositions" de Pierre Gattaz




Et si on supprimait le MEDEF ?
(Merde Encore Des Emplois Fantômes)
Pierre Gattaz vient encore de nous prouver que le patronat a du mal à se renouveler. La revue Chalenge nous apprend que la fortune familiale est passée de 124 milliards d'euros en 2013 à 250 milliards en 2014 soit une hausse de 101,61 %. Ce qui le qualifie particulièrement pour revendiquer la baisse du SMIC ! Il veut revoir la durée du travail (travailler plus pour gagner moins), faire primer l'accord d'entreprise sur la loi, supprimer deux jours fériés, refondre le CDI en contrat de projet (c'est-à-dire le supprimer) il exige de nouvelles baisses de "charges" etc.…
Bien sûr c'est pour créer des emplois. Ça doit venir de famille, car son père avait promis la création de 500 000 emplois si l'on supprimait l'autorisation administrative de licencier (comme si une seule fois les patrons avaient été empêchés de licencier). Ce fut chose faite et on attend toujours les 500 000 emplois. Par contre les licenciements ont les a eu ! Si le patronat avait pour vocation de créer des emplois, il y a longtemps que nous nous en serions aperçus. Ce qui les guide c'est le profit et seulement ça.
Il faut de temps en temps rappeler au patronat que les salariés ne sont pas des "charges", mais des producteurs de richesses. Et c'est grâce à eux que Monsieur Gattaz a pu s'augmenter de 29 %. Sans pour autant améliorer sa qualification ou sa quantité de travail.
Au fait, M. Gattaz, qu'est devenue votre affaire de famille : "La caisse noire de l'UIMM" ? Bernard Thibault avait demandé que l'organisation patronale rende l'argent aux métallurgistes ! L'avez-vous fait ?
Plutôt que de supprimer les acquis des travailleurs, si on supprimait le Medef qui ne connaît qu'un cri de marche : « En arrière ! ».
Michel Cialdella
Fontaine, le 25 septembre 2014

 Proposition.
Mettre le MEDEF hors la loi pour atteinte à la dignité humaine

jeudi 4 septembre 2014

Au ministre du travail qui insulte les travailleurs



Michel Cialdella, ex-administrateur de la CPAM de Grenoble.
6, rue Joseph Bertoin - 38600 Fontaine

Monsieur François Rebsamen Ministre du travail.
Ministère du Travail
127, rue de Grenelle
75007 Paris


Fontaine, le 3 septembre 2014.


Monsieur le Ministre,

Vous avez demandé à Pôle emploi de vérifier que les chômeurs cherchent bien un emploi.
C'est sûrement plus facile que de leur en procurer un...
Dans notre pays sévit un chômage de masse touche près de 6 millions de privés d'emploi, il faut une sacrée dose de cynisme pour tenir de tel propos, alors que vous n'avez pas été capable d'infléchir, si peu que ce soit, la progression du chômage (500 000 demandeurs d'emploi supplémentaires depuis mai 2012).
Le souverain, c'est-à-dire le peuple, est en droit de vous demander des comptes. Tous les jours des inscrits à pôle emploi sont radiés pour le moindre manquement à une convocation. Ils n'ont pas besoin de votre mépris, mais d'un emploi que par ailleurs vous n'êtes pas capables de leur offrir. Vous et votre gouvernement préférez donner des 220 milliards par an * au patronat pour gonfler les dividendes des actionnaires. Alors que ces mêmes milliards pourraient servir à la création d'emplois publics.
À la louche : selon l'INSEE la masse salariale brute c'est environ 685 milliards, les salariés sont au nombre de 26, 319 millions. Ce qui donne un salaire moyen brut d'environ 26 000 € bruts par an.
220 milliards € que divise le salaire moyen brut (26 000 €), cela représente plus de 8 millions d'emplois et environ 88 milliards € de cotisations pour la Sécu !
Quel gâchis que ces "aides", quels incompétents ces ministres dont il convient de rappeler de temps en temps qu'ils sont des serviteurs.
Qui contrôle les ministres, le président de la République ? Quelles sanctions encourent-ils lorsqu'ils ne respectent pas leurs engagements ? Ce jour, la télévision censée nous informer a trouvé une personne complaisante pour déclarer : « Il y a du travail en France ce sont les gens qui ne veulent pas travailler ». C'est une insulte qui devrait provoquer l'indignation du journaliste. Même pas, les chiens de garde du système sont à l'œuvre ! J'ai moi-même été chômeurs dans les années 1978 / 1980 et je connais leur galère.
Plutôt que de stigmatiser les chômeurs que je préfère appeler "privés d'emploi", justifiez votre salaire, travaillez à créer des emplois. Comme citoyen, je vais demander à Pôle emploi de vérifier que les ministres travaillent réellement. Après tout c'est nous qui vous payons !
On peut tranquillement pronostiquer une déculottée aux prochaines élections chassé par le peuple vous aurez toutefois bien servi le capital. Vous pourrez, comme Sarkozy faire des conférences bien payées...
« Les malheureux sont les puissances de la terre ; ils ont droit de parler en maître aux gouvernements qui les négligent »  disait Saint Just.
Recevez, Monsieur le ministre, l'expression de mon dégout le plus sincère.
Michel Cialdella
Citoyen en colère





* Eric Aubin, l'Humanité du 3 septembre 2014.