La réponse de l'attaché parlementaire de Madame Emilie Chalas
députée de la 3e circonscription de l'Isère
Et mon défi
Monsieur Cialdella,
Nous avons bien reçu votre courrier et ne manquerons pas de le porter à la connaissance de votre députée.
Nous avons bien noté vos remarques sur les sujets évoqués dans votre courrier et regrettons que vous n'ayez pas souhaité profiter de l'occasion de la réunion publique pour discuter sereinement de chacun de ces points avec Mme Chalas. Certainement cela aurait pu intéresser d'autres personnes présentes d'avoir des éléments concrets de réponses à vos questions.
Permettez-moi simplement de souligner qu'il n'est pas juste de dire que la députée ne vous a pas laissé vous exprimer, d'autant que vous l'avez interrompue à plusieurs reprises dès les premières phrases de son introduction. Vous avez ensuite fait le choix de partir sans attendre le temps de questions-réponses annoncé, ce qui est dommage puisque cela n'aura pas permis d'engager de véritable dialogue ni de dépasser les idées reçues.
Nous ne manquerons pas d'organiser d'autres opportunités de rencontre pour que cela soit de nouveau possible, dans le cas où vous souhaiteriez discuter de manière constructive avec votre députée.
Avec nos meilleures salutations,
Bertrand BIJU-DUVAL
Collaborateur parlementaire auprès d'Emilie CHALAS, Députée de l'Isère
bertrand.biju-duval@clb-an.fr / 06 37 53 75 17 / 04 76 88 88 35
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Bonjour Monsieur Bertrand BIJU-DUVAL.
Dans sa lettre Madame la Députée de la troisième circonscription de l'Isère nous invitait à nous rencontrer et à échanger sur les thèmes de notre choix. En réalité c'était plutôt défense et illustration de la politique antidémocratique et antisociale d'Emmanuel Macron président des riches. Si il y a une chose dont je n'ai pas besoin c'est de l'explication de la politique mise en œuvre par cette majorité, car après 60 ans de militantisme syndical et politique ainsi que de formations syndicales et universitaires sur l'économie, je suis capable de décrypter et de plus je suis de ceux qui en subissent les méfaits.
J'étais donc venu dire ce qui objectivement ne va pas. Démontrer qu'au nom de la modernité l'actuel président de la République poursuit en l'aggravant la politique des quatre derniers présidents. Seulement le débat a été impossible d'où mon départ en colère.
À l'heure où se prépare une attaque (une de plus), contre la Sécurité sociale, qui risque d'être mortifère pour cette institution, je mets au défi Madame la Députée de me rencontrer en débat public sur le sujet.
Michel Cialdella
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